Patrick Burtart
Instituteur, photographe, apiculteur, et depuis quelques années écrivain. Je vous invite à découvrir mes romans, des histoires enracinées dans les Monts du Forez.
Qui suis-je ?
Patrick Burtart est né à Montbrison en 1953. Il habite dans les monts du Forez, à Chalmazel-Jeansagnière.
Instituteur, apiculteur, créateur du Parc de la Droséra, il fut correspondant d’un journal local.
Photographe amateur, certaines de ses photos, primées par Kodak, furent exposées au Musée de l’Homme.
Voyageur passionné et humaniste, Patrick Burtart a parcouru l’Afrique, l’Europe ou encore la Russie, souvent entouré de ses enfants, à la rencontre des autres. Voyageant la plupart du temps en camping-car, il a pu plonger en immersion dans les pays explorés.
Lecteur assidu, c’est entouré des mots des auteurs qui ont marqué sa vie qu’il a décidé, à 70 ans, d’écrire son premier roman.





Mon univers littéraire

L'Inconnu du banc
22 septembre 2022. Dans une pochette oubliée par un homme sur un banc, se trouve une vingtaine de textes. Clotilde les trouve et, en les lisant, découvre la vie d'un petit garçon, l'Enfant. Non seulement celle-ci va la bouleverser, mais Clotilde va peu à peu construire avec l'Enfant une intimité singulière. Ce roman haletant nous invite à suivre les deux personnages dans leurs souvenirs et déambulations, entre passé et présent, où s'entremêle tout un panel d'émotions.


Trois nuages, un grand et deux petits
Trois voitures prennent feu. Un panache de fumée noire s'échappe de ce joli immeuble, maintenant un tas de débris. Romain va tout perdre en un instant. L'auteur nous emmène vers le long périple de son personnage entre souvenirs et reconstruction. Un roman mêlant les émotions dans un mélange juste et bien dosé, où l'on s'attache avec bienveillance et tendresse aux personnages, vivant avec eux ce long parcours vers le retour à la vie.


Jelena
Elle est arrivée un matin d'hiver, seule, silencieuse, avec pour tout bagage une valise cabossée et un passé peint de peurs, de souffrances, mais aussi d'espoir. Enfant dans une Yougoslavie ravagée par la Seconde Guerre mondiale, Jelena n'a que son innocence pour se défendre contre l'horreur. Le conflit yougoslave la rattrape en 1991 et l'oblige à fuir dans nos monts du Forez. Un récit poignant qui parle d'exil, de mémoire, et de cette humanité que l'on oublie parfois.

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Mes apparitions dans la presse

Le Forézien Patrick Burtart raconte son enfance dans son premier roman
Patrick Burtart raconte sa vie à travers celle de l’Inconnu de son roman.
Vous êtes un ancien instituteur, vous adorez la photo et vous venez d’écrire votre premier roman. C’est un rêve qui se réalise ?
« Non, ce n’est pas un rêve. J’ai perdu mon père à 17 ans, j’étais l’aîné de trois enfants et notre famille était plus que modeste. Pour m’en sortir, j’ai eu besoin d’écrire tout ce qui m’arrivait. Puis, un jour, j’ai tout brûlé à la décharge. Bien plus tard, j’ai rencontré l’écrivaine Dominique Dejob au salon de Montbrison. Elle avait le même style que moi et comme je trouvais mes textes durs, je cherchais quelqu’un qui ait eu une enfance plus facile, pour les adoucir. Je lui ai donc demandé si elle voulait réécrire avec moi cette enfance, car je trouvais que c’était une belle histoire malgré tout. Elle a accepté, en mettant en mémoire ses souvenirs à elle aussi. » De quoi êtes-vous parti pour construire vos deux personnages, l’Inconnu et Clotilde ?
« Tout ce qui me concerne est complètement autobiographique. Quant à Dominique Dejob, elle me dit qu’elle n’est pas Clotilde, mais je pense qu’il y a une grande part d’elle quand même. »
C’est vrai qu’il y a des passages très durs. Vous les avez vraiment vécus ?
« Oui, il n’y a aucune autocensure. Par contre, je n’aurais pas pu publier le livre si ma mère était encore vivante, elle n’aurait pas voulu que des choses se sachent… »
Pas d’autre projet d’écriture pour l’instant
On dirait que vous vous servez de vos personnages pour faire passer vos révoltes…
« Je suis un écorché vif ! Et encore, j’ai été relativement gentil pour raconter ce que j’ai vécu. Des choses inimaginables et révoltantes, tant pour la cause animale que pour l’hypocrisie religieuse, la cause des femmes, la justice à deux vitesses… Heureusement, quand j’avais environ dix ans, j’ai rencontré un instituteur super gentil, face à un directeur pire que tout. C’est lui qui m’a donné l’envie de devenir un instituteur gentil, pas un maître des écoles, mais quelqu’un qui aide les enfants à devenir ce qu’ils sont. »
Les photos, les voyages, cela vous parle aussi ?
« Oui, j’ai d’ailleurs reçu un septième prix national en 1984 pour un concours Kodak, j’avais fait un montage diapo sur les monts du Forez et il avait été exposé au musée de l’Homme à Paris. »
Ce livre est bourré de détails du quotidien sur les années 60. Il est aussi la mémoire d’une époque…
« Exactement, comme une transmission à mes petits-enfants, pour qu’ils sachent. »
Avez-vous un autre projet d’écriture ?
« Pas pour l’instant. Aujourd’hui, j’ai l’impression d’être un spectateur qui regarde vivre cet enfant. » L’Inconnu du banc. Éditions du Drosera. www.patrickburtart.fr
Il avait créé le parc de la Drosera
Patrick Burtart est aussi bien connu dans le Forez (et l’Hexagone !) pour avoir construit, en 1992, le parc de la Drosera, situé à Jeansagnière. S’il a fermé ses portes depuis plus de dix ans, ce lieu a été pendant deux décennies un jardin extraordinaire, riche de 53 maquettes faites main de monuments emblématiques de la région, à l’échelle 1/20e. Pourquoi Patrick Burtart l’avait-il créé ? « Pour être vraiment sincère, comme j’ai eu une enfance difficile, j’ai voulu montrer que le “paria” était capable de faire quelque chose d’exceptionnel. Cela m’a valu de nombreuses récompenses. On m’a traité de “fou génial” et c’est vrai qu’avec le recul, il fallait être malade pour faire tout ça ! »
Quant au drosera, « c’est une petite plante qui a su s’adapter à son milieu, en attrapant des insectes pour compenser ce qu’elle ne trouvait pas dans le sol. Elle me plaît, car elle est un peu comme moi… »
Saint-Étienne - L’histoire en quelques mots
L’intrigue, rédigée à quatre mains par Dominique Dejob et Patrick Burtart, raconte des pans entiers de l’enfance de l’auteur. Un homme oublie volontairement une pochette sur un banc. Elle contient une vingtaine de textes qui sont destinés à une certaine Clotilde, sans qu’elle le sache. Que va-t-elle faire ? La curiosité l’emporte. Elle se met à les lire, se laisse apprivoiser par l’Inconnu, cet enfant au destin si touchant. Elle cherche à le retrouver, au fil des indices territoriaux qu’il sème entre les lignes. Sans le connaître, elle lui parle aussi d’elle. Ainsi, les deux personnages apprennent à se connaître par émotions et lettres interposées.
Gillette Duroure

Le Forézien Patrick Burtart signe un second roman
Patrick Burtart a récemment publié Trois nuages, un grand et deux petits , aux éditions du Drosera, en auto-édition, en collaboration avec Florence Delaporte de l’Atelier Pagdom, illustratrice qui a conçu la couverture. Écrite sur un temps réduit, durant l’été 2024, l’intrigue conduit Romain, le personnage principal, à venir vivre dans les Monts du Forez après un drame de la vie au cours duquel il a perdu sa femme et ses deux filles. Si elle démarre sur un fait divers, l’histoire de la reconstruction de cet homme, dans laquelle une petite fille de neuf ans joue un rôle important, fait alterner les lecteurs entre émotion et sourires.
Patrick Burtart aime expliquer qu’il a vécu 24 heures sur 24, entouré de ses personnages, au point que souvent, la nuit, il se levait pour poursuivre l’écriture. Instituteur retraité, apiculteur, photographe amateur, créateur du Parc de la Drosera à Chalmazel-Jeansagnière, l’auteur aime écrire des histoires au plus près de la réalité, et ce depuis son enfance. Ce second titre a reçu le prix du salon du livre de Saint-Bonnet-le-Château, en octobre dernier. Patrick Burtart l’a également présenté à l’Automnale du livre à Sury-le-Comtal en novembre et en assure la promotion dans les librairies.
Colette Modion


Rencontre avec Patrick Burtart autour de « Trois nuages, un grand et deux petits »
Après un premier livre largement autobiographique l’an dernier, Patrick Burtart a signé cet automne un roman intitulé Trois nuages, un grand et deux petits (21 euros). L’histoire de Romain, un homme qui a tout perdu - sa femme et leurs deux filles - dans l’explosion d’un immeuble provoquée par le suicide au gaz d’une femme qui n’avait pu se procurer du pentobarbital.
Ce récit, qui démarre à Lyon et se poursuit dans les monts du Forez, est fictif. En revanche, l’auteur a bel et bien vécu les voyages en Espagne et en Italie qu’il dépeint dans ces pages primées au salon du livre de Saint-Bonnet-le-Château. Et les personnes qui le connaissent verront sans doute un peu de lui dans le personnage d’Étienne.
Inspiré par un authentique fait divers, le Forézien a profité de l’absence de son épouse, partie quelques semaines dans sa Russie natale l’été dernier, pour se lancer dans l’écriture et ne plus s’arrêter. Au point de vivre avec ses personnages durant un mois, jusqu’à ressentir un peu de tristesse après avoir mis le point final. « Ils me réveillaient même parfois la nuit et je prenais des notes sur mon téléphone », s’amuse-t-il.
Ses héros ont bousculé la trame initiale, au point que la version imprimée n’a « rien à voir ». L’auteur a tout de même pu faire passer les messages qui lui tenaient à cœur, concernant, par exemple, le suicide assisté - « chacun devrait être libre de choisir sa fin » - et l’entraide.
S’il a attendu ses 70 ans pour prendre la plume, l’ancien instituteur a toujours aimé noircir le papier, comme par exemple lorsqu’il dirigeait le parc de la Drosera (1992-2013). « Par envie autant que par besoin », ce « très bon élève en français » avait entrepris à deux reprises de raconter son enfance difficile jusqu’au décès de son père, quand il avait 17 ans : à 20 ans pour s’en détacher, puis deux décennies plus tard pour la transmettre à ses enfants. Des écrits qu’il avait détruits à chaque fois.
La troisième tentative, en duo avec une autrice, a donc été la bonne et a donné L’Inconnu du banc. Lui qui pensait que cela n’intéresserait personne en a finalement vendu plusieurs centaines d’exemplaires. Alors qu’il promeut son deuxième ouvrage, un troisième n’est pas à l’ordre du jour même si un fait divers survenu en Haute-Savoie pourrait l’inspirer à l’avenir.
Franck Talluto

Le Forézien Patrick Burtart publie "Trois nuages, un grand et deux petits", son deuxième roman
À 72 ans, l’écrivain Patrick Burtart n’a rien perdu des idéaux d’une jeunesse dont il raconte aussi les voyages. Photo fournie par les éditions du Drosera
Ancien instituteur et ex-créateur du parc de la Drosera, Le Montbrisonnais Patrick Burtart se lance dans le romanesque pour son dernier livre Trois nuages, un grand et deux petits. Enfin, presque, tant les personnages ont tous une part de lui, notamment Étienne, héros tragique à son insu. L’histoire débute par un drame, en 1988 à Lyon, pour se terminer quelques mois plus tard dans un petit village des monts du Forez. Elle se déroule sous la forme d’une enquête et mêle rêves, histoire et réalité, le tout se combinant d’ailleurs pour donner corps aux colères qui habitent l’auteur. Dans tous les cas, il y est question de dignité. De liberté. Patrick Burtart y soutient notamment l’aide à mourir, y dénonce l’hypocrisie de ceux « qui n’aiment les animaux que lorsqu’ils sont utiles » ou le voyeurisme effréné d’une société en mal de respect.
Primé au salon du livre de Saint-Bonnet-le-Château
Bref, à 72 ans, l’écrivain n’a rien perdu des idéaux d’une jeunesse dont il raconte aussi les voyages (vécus) en Espagne ou en Italie, pour en décrire à la fois les beautés et les blessures de l’histoire. Néanmoins, c’est la tendresse qui prime, l’humanité qui gagne malgré tout. Le roman, primé au salon du livre de Saint-Bonnet-le-Château (2e prix) en octobre 2024, regorge en effet d’authentiques marques d’émotion. Quant à l’enquête, elle se suit et se dénoue avec clarté, sur les chemins d’un Forez dévoilé.
Gillette Duroure

Les Éditions du Drosera
Dans les tourbières des Monts du Forez pousse une jolie mais minuscule plante insectivore : le drosera ou Rossolis. Cette toute petite plante a su s'adapter aux tourbières européennes, milieu pauvre et difficile.
Cette droséracée nous rappelle qu'il faut de la ténacité et du courage pour vivre et travailler dans nos rudes mais magnifiques montagnes du Forez. C'est la raison pour laquelle je l'ai choisie comme symbole de mon travail.
Avis des lecteurs
Bonjour Je viens de finir la lecture d'un livre extraordinaire qui a pour titre «L'Inconnu du banc». Je viens juste de le refermer mais la qualité de ce livre fait que, après ouverture, on ne peut pas abandonner ni l'écrivain, ni Clothilde sans être arrivé à la dernière page. J'avais acheté « Trois nuages… » en occultant votre premier livre. Et aujourd'hui je vous assure que vous avez bien fait d'insister pour que j'achète le premier. Il est tellement FORT en émotion, en vérité, en parcours de vie, en compassion, en amitié, en…TOUT. L'écrire est tellement insuffisant ! L'écrire dans un sms tellement impoli ! Et merci de m'avoir parlé un peu de votre enfance, un peu de vous, au soleil du col du Béal, votre livre était déjà dans ma mémoire. J'ai suivi cette route et je me pose des questions, plutôt peut-être de la curiosité. Quel instituteur étiez-vous avec toutes ces « expériences » douloureuses parfois et cette sensibilité partout présente entre vos mots (maux). J'attends donc avec impatience votre 3ème opus. En attendant, si votre Etna est le sommet du col du Béal, rendez-vous pour une prochaine dédicace… prochainement !!! Quant à celle que vous avez faite pour « L'Inconnu du banc » soyez sur que sur mon chemin j'ai croisé l'Enfant et je l'ai pris dans mes bras. Je vous souhaite bonne aventure pour votre prochain livre et vous adresse mes amitiés (de plume).
Coucou Patrick, Je viens de terminer ton joli livre. Moi je te dis, avec l'œil critique d'une vieille auteure : un grand BRAVO. Je l'ai beaucoup aimé. Belle histoire. Bien écrit. Aucune répétition, pas de faute de vocabulaire, pas de faute de temps. Vraiment un bon livre à conseiller, d'ailleurs c'est ce que je vais écrire sur Facebook.
J’ai acheté votre livre 'Trois nuages, un grand et deux petits' lors du salon du livre de Paray-le-Monial. Je viens de le finir, je l'ai trouvé super. Bravo, c'est un bel ouvrage.
Je vous ai acheté le livre 'L'Inconnu du banc' lors du marché de Noël de Thiers le 21/12/2024. Je l'ai terminé il y a quelques jours. Il est très émouvant. Comme noté dans votre dédicace, j'ai eu envie de serrer l'enfant dans mes bras afin de lui donner du courage dans ses épreuves. Il est difficile de se rendre compte que cela ne suffit pas et de lire la fin. J'ai donné votre carte de visite à la bibliothèque de ma commune et j'ai parlé de votre livre lors d'une rencontre 'Autour des livres'.
Je suis heureuse de faire partie des lectrices à qui vous avez donné de beaux moments de joie. Bonne route à Étienne, Romain et tous les autres !
Je viens d'achever le livre de mon ami auteur Patrick Burtart et j'ai été conquise. Habituellement je ne lis pas ce genre de livre mais le personnage qu'est l'auteur m'a interpellée et j'ai eu envie d'en connaître plus sur son travail, et je n'ai pas été déçue. On apprend plein de choses à travers son récit que j'ai trouvé poignant et émouvant, j'ai même été très émue par certains passages. Je vous laisse le découvrir si vous le souhaitez et si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à contacter l'auteur en personne pour avoir un exemplaire dédicacé.
Bonjour Patrick, J’ai lu avec encore beaucoup de plaisir ton deuxième livre : 'Trois nuages, un grand et deux petits'. Comme le premier, j’ai retrouvé Montbrison et la Vanoise et ta présence entre les lignes. Dans 'L’inconnu du banc', j’ai découvert ton enfance, tes souffrances et tes valeurs. Ta vie de créateur infatigable t’emmène aujourd’hui à l’écriture avec succès, félicitations. À bientôt dans les monts du Forez.
Bonjour, Je viens de terminer la lecture de ton livre. C'est vraiment une belle histoire. Je comprends qu'il ait été primé, c'est bien mérité. C'est vrai, j'ai pleuré... Encore bravo. Bises.
Bonjour Patrick, Je viens de terminer la lecture de ton deuxième livre qu’une amie m’a offert suite à son passage à Sury-le-Comtal. Félicitations pour tes talents d’écrivain ; le parcours de vie dramatique de Romain, plein de souffrances et d’émotions, qui va trouver un peu de sérénité dans un village des monts du Forez, près de ses trois nuages qui dorment en paix, entouré de sa sœur tout particulièrement, d’un très gentil voisinage et d’une adorable Cécile. Bonne fin d’année et au plaisir de se revoir.
Je viens de terminer la lecture de : 'L'Inconnu du banc'. J'ai adoré votre histoire qui rejoint un peu la mienne ; je suis née en 51 (31/12), j'ai vécu à Montbrison suite au divorce de mes parents. Mon père était alcoolique et mineur. Enfants (nous étions 5), nous avons attribué le divorce au tort de mon père, or il n'en était rien, je l'ai compris bien plus tard. J'avais 10 ans, ma petite sœur 7. Ma mère est partie avec le voisin du dessus laissant 5 enfants à mon père (parmi lesquels une fille de 16 ans enceinte). Ensuite votre description de la mine m'a beaucoup émue, car en plus d'être séparée de mon papa, il est mort très jeune : 47 ans, aussi il n'a pas pu m'en parler. Toutefois je ne m'attendais pas à une fin si tragique. Je vous remercie pour toutes ces émotions et je vais m'empresser de lire 'Trois nuages, un grand et deux petits'. MERCI.
Bonjour, Quelle belle surprise cet été de rencontrer un écrivain au Col du Béal. Nous terminions une randonnée mon amie et moi, toutes deux assez grandes lectrices, et nous nous sommes laissées tenter par 'L’Inconnu du banc'. Nous avons bien fait car l’histoire de 'l’Enfant' nous a émues et nous a replongées dans la dureté des années cinquante et soixante. La construction du livre est astucieuse, alternant les écrits de 'l’Enfant' et les ressentis et émotions de Clotilde. Bref, nous avons bien aimé 'L’Inconnu du banc' et nous tenions à vous en faire part. Cordialement.
Bonjour, je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, nous nous sommes rencontrés au Col du Béal début août. J'allais passer la nuit à Pierre-sur-Haute en bivouac, et vous m'avez présenté votre livre, après avoir un peu parlé du coin et du panorama. Je n'ai pu le lire pendant mon trek car j'en avais déjà un autre d'entamé et je n'aime pas en lire deux en même temps. Une fois rentrée en Lorraine, je me suis plongée dans le récit touchant de la vie de l'Enfant, cet enfant au grand cœur qui ne se sent jamais vraiment à sa place, qui subit les affres de la vie bon gré mal gré... L'importance de l'écoute, de l'empathie dans votre livre résonne dans mon métier d'auxiliaire de vie... Se décharger d'un fardeau par écrit parce que personne n'est là pour l'écouter... J'ose espérer que si j'avais croisé l'Enfant à Pierre-sur-Haute, j'aurais donné un peu de moi pour recevoir son histoire, un peu de mon temps et de mon esprit... car ce n'est pas chose facile non plus de recevoir par vagues les fracas de la vie des autres à l'écoute. On se met vite à la place de Clotilde quand on lit les feuillets de l'Enfant et on retourne nous aussi dans le passé se souvenir de l'école, comment étaient nos grands-parents avec nous, notre insouciante vue d'enfant comparée à la sienne. L'explication finale du livre est bien trouvée pour resituer toutes les pensées de Clotilde conjointement au récit de l'Enfant. Bref j'ai bien aimé, un petit déchirement au cœur quand on comprend ce que l'Enfant va finalement faire en Italie. Je vous souhaite bonne continuation, et succès à votre livre !
Bonsoir, Je ne résiste pas à vous écrire ce message ce soir. Je viens de finir votre chef-d'œuvre. J'étais loin d'imaginer une telle fin... mais en fait, peut-être pas la fin ! Moi, qui suis enseignante, quelle cruauté cet événement du taille-crayon... objet précieux voire porte-bonheur pour l’Enfant, réduit en miettes par un sans-cœur. Et puis très émouvant cette maman qui se libère, qui se confie à son fils au décès du mari addict. Bravo. Chrystelle, qui a emporté de votre région un peu d'histoire de fourmis rouges. PS : quelle est cette plante sur la couverture avec ses rhizomes ? Edelweiss ? Amitié.
Cher auteur, désolé pour ces quelques jours de retard. Mais il a fallu achever les vacances avec nos petits-enfants Joséphine et Gaëtan à qui vous avez dédicacé votre ouvrage. Ensuite je voulais le lire, ce livre, puisque votre confiance me permettait, cette fois, de lire avant de payer ! Finalement comme au restaurant. Pour tout vous dire, je suis toujours un peu circonspect avec les écrits autobiographiques qui sont bien souvent des autos psychologiques un peu pathétiques, médisants, passéistes… et nombrilistes. Mais là vous avez abattu mes réserves. Nul exhibitionnisme inutile. Une construction habile, délicate, intelligente. Une vraie dialectique entre deux histoires, deux mondes. Bravo. Et puis j’ai corné la page (je fais souvent cela, dans ma bibliothèque ; Joséphine et Gaëtan, le moment venu, verront mes petites décroches) quand vous avez cité Camus. Je ne l’avais pas celle-là : 'La vie n’a pas de sens, mais vaut la peine d’être vécue, à condition de reconnaître qu’elle n’a pas de sens. Le sens de la vie supprimé, il reste encore la vie.' Quelle ode à la vie, à la vie seulement, et cela suffit à notre bonheur. Et puis cette fin qui trouve tout 'l’espoir'. Cette fois c’est Malraux ! Donc merci, bravo. Encore merci de ces beaux legs. Portez-vous bien. Belle retraite.
Bonjour Mr Burtart. Quel plaisir de vous avoir rencontré à Teissières-les-Bouliès 15 et... donc de vous savoir en vie !!! La fin de votre livre est très inattendue, un sentiment étrange et ambivalent m'a saisie alors, entre un peu de tristesse et d'incompréhension, vite dispersé par la joie de savoir que vous étiez bel et bien là ! en chair et en os !!! Merci pour ce récit à deux voix (à voies parallèles) qui m'a effectivement tenue en haleine. Je me suis retrouvée moi-même à parcourir mon enfance pleine des images que vous y décrivez tantôt avec tristesse, tantôt avec joie, tantôt avec amertume et même sur un ton léger et moqueur... une belle visite de cette époque d'après-guerre finalement, car je suis aussi née en 1953, seulement huit ans après 1945... L'écriture est agréable, simple (dans le bon sens du terme), fluide et en même temps 'fouineuse' à y décrire les sentiments, les émotions de votre enfance et les relations aux parents et à toutes les institutions et autres de l'époque. Je m'arrête là ! sinon je vais écrire un livre... Merci pour cette aventure livresque, à quand le prochain ? Bonne continuation. Peut-être au plaisir sur un autre salon. Bien cordialement.
Très simplement mon ressenti suite à la lecture de ce livre. Un bel échange de parcours de vie, un heureux hasard, en alternant passé et présent, avec Clotilde et le garçon 'inconnu du banc' qui a laissé volontairement les récits de sa vie, loin d'être un long fleuve tranquille. Il a trouvé et avait besoin d'une oreille attentive. Beaucoup d'émotions et d'attachement pour ces deux personnages. Amicalement.
Je viens de finir votre livre... c'est vrai qu'on a du mal à le lâcher... cet Enfant nous intrigue... À 3 ans près, j'ai l'âge de cet Enfant... ses souvenirs sont un peu les miens... en moins terribles... On trouve dans votre livre les sujets de l'époque : le viol conjugal, les curés pédophiles... plus tout ce qui pourrit l'enfance : les instits pervers, l'éducation religieuse, les écoles 'dites' libres... et la souffrance animale... et bien d'autres... Le texte qui m'a le plus choquée, c'est celui sur la corrida ! Ensuite, le taille-crayon... Je fais de la lecture à voix haute à un public adulte ; sans nul doute, je proposerai ces textes... Ce qui m'étonne, c'est votre fidélité à votre père... ? Il vous en a tellement fait voir... et la perversité dans les punitions infligées par les adultes... Heureusement on a un peu changé de monde... Comment fait-on pour écrire à deux ? Dominique Dejob a-t-elle livré ses souvenirs d'enfance pour faire exister Clotilde ? Vous avez rédigé votre 2ème livre... je donnerais ma main à couper que vous l'avez écrit seul ! Je me trompe ? Que racontez-vous ? Ça me titille ! C'est très malin, le 'dialogue' entre les 2 personnages... ça entretient l'intérêt... mais la FIN !! Doit-on vous retirer votre passeport pour vous empêcher de passer à l'acte en Italie ?? Avez-vous, vous-même, élevé des enfants ? Et comment ?? Assez bavardé... Je vous souhaite d'être heureux en écriture... et une longue vie pour raconter vos histoires. Amicalement.
Bonjour Patrick. C'est avec beaucoup d'émotion que je termine votre livre. Je me suis reconnue dans votre vie. En effet, j'ai vécu, moi aussi en HLM, avec un papa qui aimait un peu trop l'alcool, bref, j'ai pleuré. En parallèle, j'aurai 55 ans le 23 août, suis de 69, et tout comme Clotilde, je me suis reconnue dans plein de situations. Bref, votre livre m'a émue, troublée profondément. Vraiment la conception du livre est astucieuse, il fallait y penser, bravo ! La fin du livre, j'aurai tellement aimé que l'inconnu vive encore. En écrivant ces quelques lignes, j'ai la gorge nouée, une larme coule et je ne trouve pas les mots justes pour vous dire bravo ! J'ai vraiment bien fait de vous rencontrer au Col de la Loge ! Et votre petite sœur ? Le vocabulaire employé est simple et ça c'est vraiment important afin de ne pas stopper la lecture pour rechercher sans cesse la signification d'un mot. Vous avez écrit avec le cœur, comme moi, j'aime ce style ! Mon dieu. L'accident, 1959, page 43... Félicitations, au plaisir de vous relire.
Bonsoir Patrick, Je viens de terminer votre livre, il m’a passionnée et émue. Beaucoup de tendresse dans cette lecture et des passages émouvants. Merci pour les bons moments passés avec les deux personnages. On s’est rencontrés à Teissières-les-Bouliès, vous étiez l’écrivain le premier arrivé. Amitiés.
Lundi 5 août 2024, au Col du Béal, au pied de Peyre-Mayou, ce roman m'attendait. Dédicacé par son auteur, votre livre aura été lu en une journée sur les Hautes Chaumes : c'est une vraie pépite. De cette rencontre, je ne manquerai pas de serrer fort cet Enfant sur mon cœur. Bien à vous et merci.
Bonjour Monsieur Burtart, je viens de croiser le chemin d'un petit garçon qui grandit avec ses blessures. J'ai fait un beau voyage avec ces deux personnages. Je suis en vacances et j'ai effectué ma lecture en balade, m'arrêtant sur un banc ou un muret, là où le destin m'a emmené. Merci à l'Inconnu et à Clotilde pour cette balade de vie. Je vais laisser votre livre dans la bibliothèque communale de Polignac où l'Inconnu pourra à nouveau bouleverser d'autres personnes. En souvenir du prieuré de Pouilly-lès-Feurs.
Bonjour cher auteur, Je ne suis qu'à la moitié de votre livre, je dois partir en vacances en Suisse et je l'emmènerai bien sûr. Je voulais déjà vous dire qu'il m'émerveille par sa fraîcheur, son écriture si vivante qu'on voit les personnages. Comment avez-vous pu garder une mémoire aussi fidèle de toutes ces petites choses vécues lors d'une très petite enfance : 4 ans, c'est bien petit. Vous êtes instituteur, moi institutrice puis prof d'enseignement spécialisé durant les 10 dernières années de ma carrière. Vos mots me touchent au point que les larmes me montent aux yeux. Je vous remercie d'avoir écrit ce livre, je suis de la génération qui a passé les 2 bacs en 1961. Donc celle que vous décrivez. Quelle belle mise en scène, ce rapport entre ces deux personnages qui ne se voient pas ! Je voulais partager mon enthousiasme avant de partir. Si cela s'impose, je vous enverrai un complément à mon retour car je l'aurai lu jusqu'au bout. Cordialement. Je prends l'enfant inconnu dans mes bras et je le serre très fort. Bravo pour ce livre très attachant. La description de la Corrida m'a impressionnée. Je n'en ai jamais vue mais je n'en verrai jamais ! Au plaisir et au hasard de la vie des salons, sauf si je trouve avant une chemise pleine de feuillets sur un banc. Cordialement.
Bonjour, Nous nous sommes vus lors de la vente de votre livre à la fête médiévale de Montverdun. Votre livre a déclenché des souvenirs et des émotions, j'ai vécu mon enfance à la Croix-Rousse dans une cité cheminote. Votre livre m'a touché et il sera une belle note dans mon cœur et esprit. Belle journée !!
Votre dédicace disait vrai, on se sent investi d'une mission... et on est pressé de connaître le dénouement... Un livre passionnant que je vais m'empresser de conseiller à l'ensemble de mes connaissances... Au plaisir de lire votre prochain livre... Bien cordialement.
Bonsoir Patrick, je viens de terminer votre livre.... Je ne suis pas un grand lecteur mais j'ai été captivé et l'ai lu avec beaucoup d'émotions et un grand plaisir. Merci pour ce moment. Bien à vous.
Bonjour Patrick, Merci aussi pour la dédicace du livre, dédicace que j'ai relue en arrivant chez moi, et que j'ai appréciée différemment, après avoir terminé la lecture de ton roman. Je parle de la partie concernant l'enfant qui est en nous. La première partie de la dédicace étant beaucoup plus drôle... Parlons de ton roman. Je l'ai lu avec beaucoup d'intérêt, avec toujours l'envie d'aller plus loin. J'ai totalement adhéré à la description de l'ambiance 'petite ville' de Montbrison et bien sûr aux événements de l'École Normale, ces années de vie en collectivité, qui n'ont pas été agréables pour tous. Une sorte de harcèlement existait déjà. Mais comment interpréter la fin de cet ouvrage ? Pour moi, tu as posé ton sac à dos, celui qui embarrassait ta vie, tu as contourné le cratère de l'Etna et tu continues ton chemin. D'ailleurs, je me demande si ce n'est pas toi que j'ai vu, un samedi après-midi à Riorges. J'ai tellement de bons souvenirs de l'Etna, que j'ai 'visité' en août 1973 que je n'ai pas envie qu'un fait divers dramatique gâche le plaisir que j'ai eu à l'époque ! Continue bien ta route... Bises, bien amicalement.
Bonjour, hier soir j'ai fini votre livre que j'ai beaucoup aimé. Belle histoire, au début je cherchais un lien avec Clotilde et ce petit garçon, un lien familial ou autre... ce que j'ai aimé c'est que justement il n'y en ait pas, tout simplement un homme qui voulait laisser un peu de lui, de sa vie avant de partir... Merci, bonne continuation.
Bonjour, nous nous sommes rencontrés à la librairie de Saint-Rémy-du-Rolles, il y a 15 jours. J'ai lu votre livre avec beaucoup de plaisir. L'histoire m'a passionnée et m'a permis de m'évader grâce à une écriture agréable et cette envie de parcourir les pages pour connaître la suite… Je vous remercie pour le bon moment passé à vous lire. Cordialement.
Je viens à l’instant de finir votre livre, je voulais me garder un moment pour le lire et je l’ai dévoré cette semaine. Il m’a rempli d’émotions et aussi de tristesse. En le lisant je me suis complètement plongée dans votre enfance. Si on peut appeler ça une 'enfance' ! Je n’aurai jamais pensé tout ça. Je suis totalement submergée par l’émotion et à la fois je me dis que le livre est trop court ! Car maintenant on a envie de connaître encore plus pour comprendre mieux. Merci pour avoir écrit ce beau livre… Je vais le conserver comme un souvenir précieux. La vie est précieuse.
Bonjour Patrick Comme promis j'apporte ma critique sur ton livre 'l'Inconnu du banc'. La présentation, la réalisation de la couverture du livre sont à ton image, perfection du détail. Le vécu et l'imaginaire se conjuguent à merveille, tirant le lecteur de pages en pages. J'ai pris plaisir dans la lecture où parfois l'émotion se présente. Depuis longtemps, j'ai compris que tu étais rebelle. Les événements vécus dans la douleur durant notre jeunesse sont indélébiles, forgent notre personnalité, marquée au fer rouge. Merci pour ce moment, où par instants je me suis replongé dans mon enfance faite d'espiègleries. Amitiés
Je viens de finir votre livre. J’ai adoré. Vraiment bien écrit (je lis peu mais en tout cas ce livre m’a donné envie de le lire jusqu’au bout). Je me suis plongé dans votre enfance... j’avais envie de suivre ce qui allait se passer, tout comme Clotilde le fait dans le livre… Triste, émouvant, un brin d’humour tout de même. Merci pour ce partage et félicitations vraiment pour ce bel ouvrage.
J’ai lu votre livre très vite (ce qui est rare) parce qu’il est bien écrit et appelle à connaître la suite. Même si l’Enfant était un petit 'garnement', il avait surtout le souci de justice et de défense des plus faibles, quitte à se faire punir gravement. Les épreuves subies dans le passé ont forgé l’homme que vous êtes devenu et c’est pour cela que vous dégagez une force tranquille, l’écoute des autres que vous n’avez pas toujours eue et les pieds sur terre. Je me suis reconnue dans les scènes de votre enfance car j’ai vécu la même époque. Le dialogue entre les adultes et les enfants n’était pas possible et on avait de bons moments de solitude. Heureusement que les copains/copines étaient là. Des récits tristes (merci pour les mouchoirs) et des récits humoristiques font de votre livre un moment de lecture très agréable. Bravo et merci de nous faire partager votre Enfance. Le duo ENFANT/CLOTILDE en 2022 fonctionne parfaitement et est très émouvant. Amitiés
Un petit message pour vous dire que je viens de finir votre livre. J'ai passé un très bon moment de lecture. tantôt drôle tantôt triste. Nous sommes nostalgiques du monde d'hier mais il était quand même bien dur parfois. J'ai bien aimé ces allers-retours entre le monde d'hier et d'aujourd'hui. Votre façon d'écrire est différente de l'un à l'autre, cela rend le texte passionnant à lire. J'ai trouvé de nombreuses similitudes avec l'enfance de mon mari, surtout concernant le refus de l'ordre et les 'bêtises'. Il y a juste une petite chose qui me gène un peu, mais il s'agit juste du ressenti que j'ai eu sur certains passages. Vous opposez les gentils pauvres et les méchants nantis cela me gène un peu. J'ai peut-être ce ressenti parce que je n'ai jamais fait partie de l'un ou de l'autre et que j'ai du mal à comprendre. Voilà, aucune chance que je trouve une petite faute, trop prise par l'histoire. Merci encore; Amitiés
Mes livres aux quatre coins du monde

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Athènes Noémie

Athènes l'Acropole Benoit

Athènes l'Agora Noémie

Briennon Gilles

Cap Nord Blandine Serge

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Chypre Paphos rocher d'Aphodite Olenka octobre 2025 - 1

Chypre Paphos rocher d'Aphodite Olenka octobre 2025 - 2

Chypre Paphos rocher d'Aphodite Olenka octobre 2025 - 3

Corrèze Curemonte Claude Dupuy septembre 2025

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